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Version approuvée par le ministère du Développement durable, de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques le 26 août 2016. Cette version n'est pas mise à jour en continu.

1.6 Santé publique

 

La préservation de la qualité de l’eau est avant tout une question de protection de la santé de la population, tant en ce qui concerne l’alimentation en eau potable que les activités de contact avec l’eau. Sans avoir la prétention de faire un tour complet de la question, la présente section explore les problématiques liées à la qualité de l’eau qui ont eu ou qui continuent à avoir un impact sur la population au niveau de la santé publique.

Eau potable

Contamination au TCE

La contamination au trichloroéthylène (TCE) de la nappe phréatique est décrite à la section eaux souterraines. Si la contamination et son impact sont plus importants à l’extérieur du territoire de l’OBV, le panache souterrain affecte toutefois une partie des eaux souterraines dans le secteur de la rivière Nelson. À cet égard, deux puits d’alimentation en eau potable à Val Bélair ont été fermés en 2009 suite à la découverte de traces de TCE (Caron, 2009). Bien que la contamination soit en deçà de la limite de 5 µg/L, la fermeture de ces puits a été faite par principe de précaution afin de rassurer la population de la Ville de Québec sur la qualité de l’eau potable du réseau (Radio-Canada, 2009). La Direction de la santé publique ne s’est pour sa part jamais opposée à la consommation de cette eau.

C’est en 2000 que la Direction régionale de santé publique a été avisée que l’eau potable des puits privés de plusieurs résidences de Shannon contenait des concentrations de TCE qui pouvaient dépasser les normes. Suite à cela, des recommandations ont été faites à la population pour réduire l’exposition au TCE, par exemple ne pas consommer l’eau et ne pas l’utiliser pour la douche et le bain (Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale, 2006).

Le TCE peut entrer dans l’organisme humain à la suite d’une exposition par ingestion, par inhalation ou par contact cutané. Une fois absorbé, le TCE est distribué dans l’organisme par la circulation sanguine (INSPQ, 2010). L’exposition au TCE peut entraîner des effets aigus ou chroniques, selon la durée et l’intensité de l’exposition. Une brève exposition au TCE à des concentrations très élevées peut entraîner des irritations de la peau, des yeux et des voies respiratoires, ou encore causer des nausées, des vertiges, des maux de tête et de la confusion (Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale, 2006).

Au moment de la découverte de la contamination, le TCE était considéré comme cancérigène probable (Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale, 2006). En octobre 2012, des experts du Centre international de recherche sur le cancer ont par ailleurs réévalué la cancérogénicité de plusieurs solvants chlorés et certains de leurs métabolites. Parmi ceux-ci, le TCE est passé d’une classe 2A (probablement cancérigène chez l’humain) à une classe 1 (évidence suffisante) (Guha et al., 2012). Ainsi, une exposition quotidienne pendant de nombreuses années à de faibles concentrations de TCE peut causer certains types de cancers (Agence de la santé et des services sociaux de la Capitale-Nationale, 2006).

La contamination au TCE des eaux souterraines a été un dossier fortement médiatisé. Suite à la découverte de la contamination, des montants importants ont dû être investis afin de fournir aux citoyens de Shannon une eau potable de qualité (Fournier, 2010). Un regroupement de citoyens de la municipalité de Shannon a également fait un recours collectif contre le ministère de la Défense et les anciennes Industries Valcartier. En 2012, le jugement a déterminé que les preuves épidémiologiques ne démontraient pas une proportion plus élevée de cancers à Shannon que la situation de la population canadienne en général et que la contamination pouvait être apparentée à des “troubles de voisinages” (Asselin, 2012). Le ministère de la Défense a toutefois été reconnu coupable de la pollution des eaux souterraines (Asselin, 2012). Les citoyens ont toutefois décidé de porter la cause en appel. Une marche annuelle est organisée par le regroupement de citoyens depuis 2009 pour se souvenir des personnes qui sont décédées de cancers – conséquences possibles à l’exposition au TCE (Radio-Canada, 2012).

Fluoration de l’eau potable

La fluoration de l’eau est un procédé qui permet l’addition d’ions fluorure (fluor) dans le but de réduire le risque de carie dentaire (Gouvernement du Québec, 2012). Ce type d’intervention est controversé dans la communauté scientifique, certains y voyant des avantages, d’autres des risques à la santé. De nombreux gouvernements et organismes de santé appuient la fluoration de l’eau potable afin de prévenir la carie dentaire. D’autres groupes sont inquiets des conséquences de l’ingestion du fluor sur la santé humaine. Selon le site du Portail de santé et mieux-être du Gouvernement du Québec, l’eau fluorée permet une réduction de 20 % à 40 % de la carie dans la population, et ainsi une réduction de frais liés aux soins dentaires (Gouvernement du Québec, 2012). Toutefois, il est reconnu que les enfants de moins de six ans qui ingèrent de grandes quantités de fluorures pendant la formation des dents peuvent développer une fluorose. Des taches blanches ou brunâtres apparaissent alors sur les dents. Il est aussi vrai qu’une exposition prolongée à des niveaux élevés de fluorures peut causer la fluorose squelettique, une maladie douloureuse qui affecte la densité et la fragilité des os (Santé Canada, 2010). Selon Santé Canada, la concentration maximale acceptable de fluorure dans l’eau potable est de 1,5 mg/L (Santé Canada, 1998). Ainsi, les quantités présentes dans l’eau potable ne devraient pas provoquer de problèmes significatifs de fluorose dentaire chez les enfants (Gestion des ressources hydriques Manitoba, 2011).

L’histoire de la fluoration de l’eau potable à Québec débute en 1972 où l’on ajoute du fluor à l’eau potable du réseau d’aqueduc de l’ancienne Ville de Québec (Labonté, 2009). À cette époque, un projet de loi provinciale poussant la fluoration de l’eau pour toutes municipalités ayant une usine de filtration est en cours d’élaboration.  Ce projet de loi a été retiré peu après, mais une modification de la Loi sur la protection de la santé publique obligera les municipalités à se plier à la fluoration de l’eau potable avant le 1er janvier 1977. La mise en vigueur de la Loi fut peu après annulée (Labonté, 2009). À ce moment, la fluoration de l’eau de la Ville de Québec est déjà en cours, et n’a seulement cessé qu’en 1982 en raison de problèmes mécaniques à l’usine de traitement des eaux. L’ajout de fluor a repris en 1986 (Labonté, 2009).

L’eau de la Ville de Québec n’est plus fluorée depuis avril 2008. Un cahier produit en 2009 par le Centre interuniversitaire de recherche sur les innovations sociales (CRISES) souligne les événements ayant lieu entre 2003 et 2009 qui ont mené à cette décision. Il est important de mentionner que l’analyse des événements entourant la fluoration de l’eau à Québec articule clairement que le débat se déroule entre deux groupes : le groupe «pro-fluor» et le groupe «anti-fluor» (Labonté, 2009). Selon l’auteur, la base sociale qui est affectée par cette décision, la population de la nouvelle Ville de Québec, reste pour la plupart à l’écart de la lutte contre la fluoration de l’eau, et demeure spectatrice du débat entre le «pro-fluor» et «anti-fluor» (Labonté, 2009). Soulignons ici, quelques éléments clefs du débat sur la fluoration de l’eau à Québec.

En 2003 une association de citoyens s’interroge face à l’ajout du fluor dans le réseau d’eau potable. C’est ainsi que le côté «anti-fluor» voit ses débuts (Labonté, 2009). La formation de la nouvelle Ville de Québec a amené une interconnexion des réseaux d’aqueducs. Les eaux fluorées de l’ancienne Ville de Québec entraient donc en contact avec des eaux non fluorées des municipalités maintenant fusionnées (Labonté, 2009). Le moment opportun pour rouvrir le débat vient en 2004, lorsqu’il faut décider si la fluoration de l’eau potable est étendue à l’entièreté du réseau d’aqueduc de la nouvelle Ville de Québec.

En 2004, un comité est formé à la Ville de Québec pour étudier la question. Les recommandations de ce comité sont de cesser la fluoration de l’eau et de promouvoir un règlement provincial en ce sens (Labonté, 2009).  Toutefois, les recommandations ne sont pas tout de suite publiées et sombrent dans l’oubli suite à l’élection de la mairesse Andrée Boucher en 2005 (Labonté, 2009). Cette dernière souhaite étendre la fluoration à travers le réseau d’aqueduc de la nouvelle ville, mais se retrouve en contexte de gouvernance minoritaire (Labonté, 2009).

Les acteurs du groupe «pro-fluor» argumentent que la fluoration de l’eau est la façon la plus efficace de remédier à la carie dentaire dans un lieu où la santé buccale est déficiente (DSP, S.D.; Labonté, 2009). Il est inscrit dans les actions à entreprendre par la direction de la santé publique de la Capitale Nationale de faire la  «promotion de la fluoration des eaux de consommation auprès des instances municipales» afin d’assurer la santé buccale à travers les classes sociales et rejoindre les populations les plus vulnérables (Agence de la Santé et des services sociaux de la capitale-nationale, 2009).

Les acteurs du groupe «anti-fluor» font la lutte contre la fluoration de l’eau potable en s’appuyant sur trois axes principaux :

  • Le droit à une eau potable saine pour tous, exempte de substances toxiques;
  • Le respect des droits et libertés fondamentaux;
  • Le principe de précaution.

Ce groupe entreprend une période de sensibilisation des journalistes afin d’amenerle débat sur la place publique (Labonté, 2009). Effectivement, le débat se déroule en majorité dans les médias, qui, selon certains militants du groupe «anti-fluor», représentent mieux l’argumentaire de ce groupe suite à la période de sensibilisation des journalistes (Labonté, 2009).

Tel que mentionné, le débat se déroule entre deux groupes, et la base sociale qui est affectée par les conséquences du débat, c’est-à-dire la population de la nouvelle Ville de Québec, n’est pas grandement impliquée. Preuve à l’appui : une marche contre la fluoration de l’eau à Québec n’apporte qu’une trentaine de participants en 2007 (Labonté, 2009).  Toutefois, la couverture médiatique de cette marche met de l’avant de façon juste les propos du groupe «anti-fluor». Le groupe dévoile les recommandations du comité d’étude de la Ville de Québec de 2004 : de cesser la fluoration de l’eau potable. Par la suite, en avril 2007, une résolution au conseil municipal est adoptée pour demander au gouvernement provincial de décider si la fluoration de l’eau potable est une obligation municipale avant le premier avril 2008, sans quoi la Ville de Québec abandonnera cette pratique (Labonté, 2009).

En mars 2008, le conseil municipal de la Ville de Québec a voté majoritairement contre la fluoration de l’eau potable. Depuis avril 2008, la fluoration de l’eau potable de la Ville de Québec a donc cessé. À l’époque, le nouveau maire de la ville de Québec, Régis Labeaume, a déclaré qu’il était favorable à la fluoration de l’eau potable, et qu’en situation minoritaire, il ne pourrait pas faire renverser la situation (Simard, 2008).  Quelques années plus tard, en 2011, ramener la fluoration de l’eau potable au réseau d’aqueduc de la Ville de Québec n’est plus une priorité pour le maire et son parti qui se trouvent maintenant en situation majoritaire au conseil municipal (Le Soleil, 2011).

En 2013, l’Assemblée nationale du Québec a mis sur pied la Commission de la santé et des services sociaux sur la fluoration de l’eau potable. Dans son rapport déposé en avril 2013, la Commission recommande que la fluoration de l’eau potable ne soit ni une mesure obligatoire, ni interdite. La Commission a par ailleurs demandé à l’Institut de la santé publique du Québec de mettre en place une veille scientifique pour recueillir toute nouvelle information pertinente sur la question de la fluoration (Radio-Canada, 2013).

Activités de contact primaire et secondaire

Dans cette section, les phénomènes pouvant toucher la santé publique au niveau des activités de contact primaire et secondaire seront abordés. Certains des phénomènes sont localisés à des endroits spécifiques du territoire tels que les cyanobactéries et la dermatite du baigneur. La contamination bactériologique a toutefois un impact plus important sur le territoire de l’OBV de la Capitale.

Cyanobactéries

Fleur d'eau de cyanobactéries - Photo: FrancVert, le webzine environnemental. Nature Québec. UQCN

Les cyanobactéries sont souvent plus connues sous le nom d’algues bleu-vert. Bien qu’elles possèdent des caractéristiques propres aux algues, comme la capacité d’effectuer la photosynthèse, elles sont classées dans le même groupe que les bactéries en raison de leur structure primitive (absence de noyau dans la cellule) (Blais, 2006).

Dans des conditions favorables, par exemple en présence d’une grande quantité de phosphore dans l’eau, les cyanobactéries peuvent se reproduire rapidement et en abondance. Elles forment alors une «fleur d’eau», qui n’est toutefois pas toujours visible à la surface, car elle peut se former plus profondément dans la colonne d’eau (Blais, 2006).

Les cyanobactéries peuvent produire des toxines appelées cyanotoxines et si ces dernières sont trop abondantes, elles peuvent nuire à la santé des usagers. Parmi les cyanotoxines, les endotoxines peuvent causer des irritations ou des effets allergiques, les hépatotoxines affectent surtout le foie et les neurotoxines, le fonctionnement du système nerveux (Blais, 2006).

Différentes voies d’exposition aux toxines sont possibles mais les principales sont le contact cutané et l’ingestion. De façon générale, il faut éviter de consommer de l’eau non traitée (que le plan d’eau soit infesté ou non) et les viscères de poissons provenant d’un plan d’eau infesté. De même, les activités aquatiques de contact primaire (baignade, plongée, ski nautique, etc.) sont à éviter lorsque des fleurs d’eau sont apparentes (MSSS, 2012; Blais, 2006). Les lacs répertoriées pour avoir connu des épisodes de fleurs d’eau sur le territoire de l’OBV de la Capitale sont le lac Saint-Charles et le lac Saint-Augustin.

Dermatite du baigneur

La dermatite du baigneur est

La dermatite du baigneur est une affection cutanée causée par les cercaires (petites larves de la douve) qu’on retrouve dans certains lacs. Lors de la baignade, les cercaires se collent à la peau et lorsqu’elle s’assèche sous l’action du soleil, les larves la piquent et y pénètrent. Elles y mourront ensuite. La présence de cercaires dans l’eau est due aux excréments des oiseaux aquatiques porteurs du parasite. Ce sont les escargots en bordure du rivage, hôtes intermédiaires, qui seront d’abord contaminés puis, à partir des escargots, des cercaires seront à nouveau libérées et retourneront contaminer les oiseaux aquatiques et, malheureusement, les baigneurs (MSSS, 2012).

La dermatite du baigneur provoque des effets désagréables, mais ne représente pas un danger important pour la santé. Les symptômes sont des plaques rouges sur la peau, qui gonflent au bout de quelques heures et provoquent des démangeaisons. Les plaques se résorbent au bout d’une à deux semaines. Dans certains cas, une infection mineure de la peau peut se produire. Il faut enfin savoir qu’il n’y a aucun lien entre la dermatite du baigneur et le degré de pollution de l’eau (MSSS, 2004).

Sur le territoire de l’OBV, plusieurs cas ont été observés au lac Beauport depuis 1999 (Giovenazzo, 2005). Depuis plusieurs années, la municipalité de Lac-Beauport procède à la collecte manuelle d’escargots afin de limiter la propagation du parasite. Pendant les premières années d’intervention, le taux de parasitisme des escargots était validé auprès d’un expert qui n’est désormais plus disponible pour ces analyses. Dans les dernières années, moins de cas de dermatite du baigneur sont rapportés à la Municipalité en raison de ses interventions et du fait que les usagers habituels du lac ne rapporteront pas nécessairement leurs affections (Hubert, 2012).

Contamination bactériologique

Les normes de concentration en coliformes fécaux pour la baignade et les activités de contact secondaires sont mentionnées à la section qualité de l’eau des rivières (théorique). Des normes sont mises en place pour assurer la santé publique en limitant la transmission de maladies infectieuses par un contact avec des microbes présents dans l’eau (MSSS, 2007; MDDEP, 2012). Les pertes d’usages dues à la contamination aux coliformes fécaux sont présentées dans la section du diagnostic Présence de coliformes fécaux.

 

SOURCES

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AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LA CAPITALE-NATIONALE. 2009. Plan d’action régional de santé publique 2009-2012, Québec, Direction régionale de sante publique. 144 pages.

ASSELIN, P. 2012. Contamination au TCE : un léger “trouble de voisinage”. Le Soleil, publié le 22 juin 2012. En ligne: http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/sante/201206/21/01-4537334-contamination-au-tce-a-shannon-un-leger-trouble-de-voisinage.php. Consulté le 18 décembre 2012.

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FOURNIER, L. 2010. Shannon inaugure son réseau d’eau potable. Le Jacques-Cartier. publié le 7 septembre 2010. En ligne: http://www.lejacquescartier.com/Actualites/2010-09-07/article-1731535/Shannon-inaugure-son-reseau-d%26rsquoeau-potable/1. Consulté le 18 décembre 2012.

GENDRON, G. 2009. Reportage du 29 janvier 2009 : Cancers à Shannon: une histoire d’eau. Enquête.  Radio-Canada. En ligne: http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2008-2009/Reportage.asp?idDoc=73336. Consultée le 7 décembre 2012.

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GIOVENAZZO, P. 2005. La dermatite du baigneur, une drôle de pathologie loin d’être drôle. Présentation au cours de la journée «Les eaux de baignade : cessons de nager en eaux troubles». Dans le cadre des journées annuelles de santé publique (JASP) 15 novembre 2005. En ligne: http://jasp.inspq.qc.ca/Data/Sites/1/SharedFiles/presentations/2005/JASP2005-EauxBaignade-Giovenazzo.pdf. Consulté le 20 novembre 2012.

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Mis à jour le 16 janvier 2015

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